Une montagne en mal d'enfant
Jetait une clameur si haute
Que Chacun, au bruit accourant,
Crut qu'elle accouvherait sans faute
D'une citè plus grosse que Paris.
Elle accoucha d'une souris.
Quand je songe à cette fable,
Dont le rècit est menteur
Et le sens est vèritable,
Je me figure un auteur
Qui dit: je cahnterai la guerre,
Que firent les titans au maître du tonnerre>.
C'est promettre beacoup: mais qu'en sort-il souvent?
Du vent.
mardi 7 août 2007
La Montagne Qui Accouche
Publié par María Eugenia à 13:28
Libellés : La Fontaine.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Contributeurs
- Alvaro Elias Insausti
- Ana Fernanda
- Carlos Peñarrocha Garuz
- Chef Ricardo Ferrer
- El Sabor de la Cocina
- Elvira
- Felipe Rodríguez
- Freddy Muñoz-Aguiar @chefplumrose
- Ines Peña Madriz
- JCAB
- Jonathan Benitez
- Kevin Jones
- Lic Edgardo Martin Navarro Temoche
- Luis Ramos
- María Eugenia
- María Mercedes Nouel
- Merlin
- Michel De Blois
- Pedro Yaselli
- Pimentòn y Cebolla Contigo
- Raj
- Reison Frioni
- •°¤*(¯`° N£|(v)å® °´¯)*¤°•
- alejandro salas
- alex
- francis
- gabriel
- garbancita
- kisi
- nikos
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire