J'ai perdu ma force et ma vie,
Et mes amis et ma gaitè,
J'ai perdu jusqu'à la fiertè
Qui faisait croire à mon gènie.
Quand j'ai connu la vèritè,
J'ai cru que c'ètait une amie,
Quand je l'ai comprise et sentie,
J'en ètais dèjà dègoutè.
Et pourtant elle est èternelle,
Et ceux qui sont passès dèlle
Ici-bas ont tout ignorè.
Dieu parle,il faut qu'on lui rèpondre.
La Seul Bien qui me reste au monde
Est D'avoir quelques fois pleurè.
(Poèsis Nouvelles) (1840)
mercredi 19 mars 2008
Tristesse***********************
Publié par María Eugenia à 05:51
Libellés : Poesiès Nouvelles-1840*******************
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