Fastes:
L'ètè chantait sur son roc prèfèrè quand tu m'es apparue , l'ètè chantait à l'ècart de nous qui ètions silence, sympathie,libertè triste , mer plus encore que la mer dont la longue pelle bleue s'amusait à nos pieds.
L'ètè chantait et ton coeur nageait loin de lui.
Je baisais ton courage, entendais ton dèsarroi,Route par l'absolu des vagues vers ces hauts pics d'ècume où croisent des vertus meurtrières pour les mains qui portent nos maisons,Nous n'ètions pas crèdules, nous ètions entourès.
Les ans passèrent,les orages moururent,le monde s'en alla,j'avais mal de sentir que ton coeur justement ne m'apercevait plus,je t'aimais,en mon absence de visage et mon vide de bonheur,je t'aimais,changeant en tout,fidèle à toi.
vendredi 27 avril 2007
Fureur Et Mystère (1948)
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Contributeurs
- Alvaro Elias Insausti
- Ana Fernanda
- Carlos Peñarrocha Garuz
- Chef Ricardo Ferrer
- El Sabor de la Cocina
- Elvira
- Felipe Rodríguez
- Freddy Muñoz-Aguiar @chefplumrose
- Ines Peña Madriz
- JCAB
- Jonathan Benitez
- Kevin Jones
- Lic Edgardo Martin Navarro Temoche
- Luis Ramos
- María Eugenia
- María Mercedes Nouel
- Merlin
- Michel De Blois
- Pedro Yaselli
- Pimentòn y Cebolla Contigo
- Raj
- Reison Frioni
- •°¤*(¯`° N£|(v)å® °´¯)*¤°•
- alejandro salas
- alex
- francis
- gabriel
- garbancita
- kisi
- nikos
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire